Encet Ă©tat, et dĂšs lors que l'article 803-1 du code de procĂ©dure pĂ©nale, qui permet de procĂ©der aux notifications Ă un avocat par tĂ©lĂ©copie est applicable Ă la notification faite Ă la partie civile qui a dĂ©clarĂ© son adresse chez son avocat conformĂ©ment aux dispositions de l'article 89 du mĂȘme code, la chambre de l'instruction n'a mĂ©connu aucun des textes visĂ©s au moyen.
Article 937 Le greffier de la cour convoque les parties Ă l'audience prĂ©vue pour les dĂ©bats, dĂšs sa fixation et quinze jours au moins Ă l'avance, par lettre recommandĂ©e avec demande d'avis de rĂ©ception et leur adresse le mĂȘme jour, par lettre simple, copie de cette convocation. La convocation vaut citation. Article prĂ©cĂ©dent Article 936 Article suivant Article 938 DerniĂšre mise Ă jour 4/02/2012
Codede procĂ©dure civile â CĂŽte dâIvoire (PDF) 4000 CFA 2500 CFA. Le Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative ivoirien PDF (186 pages), comprend un ensemble de dispositions lĂ©gislatives et rĂ©glementaire, dont lâobjet est dâĂ©tablir les rĂšgles juridiques rĂ©gissant les procĂ©dures civile, commerciale et administrative.
Bien que lâerreur soit flagrante, la Cour de cassation fait une application stricte des articles 114 et 117 du NCPC. Cette jurisprudence est dâune rare constance. Le cas dâespĂšce ArrĂȘt du 30 septembre 2009 Cour de cassation - TroisiĂšme chambre civile " Sur le moyen unique Vu les articles 114 et 117 du code de procĂ©dure civile, ensemble lâarticle 649 du mĂȘme code ; Attendu quâaucun acte de procĂ©dure ne peut ĂȘtre dĂ©clarĂ© nul pour vice de forme si la nullitĂ© nâen est pas expressĂ©ment prĂ©vue par la loi, sauf en cas dâinobservation dâune formalitĂ© substantielle ou dâordre public et la nullitĂ© ne peut ĂȘtre prononcĂ©e quâĂ charge pour lâadversaire qui lâinvoque de prouver le grief que lui cause lâirrĂ©gularitĂ©, mĂȘme lorsquâil sâagit dâune formalitĂ© substantielle ou dâordre public ; que constituent des irrĂ©gularitĂ©s de fond affectant la validitĂ© de lâacte le dĂ©faut de capacitĂ© dâester en justice, le dĂ©faut de pouvoir dâune partie ou dâune personne figurant au procĂšs comme reprĂ©sentant soit dâune personne morale, soit dâune personne atteinte dâune incapacitĂ© dâexercice, et le dĂ©faut de capacitĂ© ou de pouvoir dâune personne assurant la reprĂ©sentation dâune partie en justice ; Attendu, selon lâarrĂȘt attaquĂ© Lyon, 15 janvier 2008, que la sociĂ©tĂ© Mac Donaldâs France la sociĂ©tĂ© Mac Donald, locataire selon bail Ă effet au 3 fĂ©vrier 1993 de locaux Ă usage commercial appartenant Ă la sociĂ©tĂ© le Grand Bazar de Lyon la sociĂ©tĂ© Le Grand Bazar, aux droits de laquelle vient la sociĂ©tĂ© Lrmd, a, par acte du 3 juin 2003, fait signifier par la SCP xxxxxxxxxxx la SCP, huissier de justice, un congĂ© Ă effet au 31 dĂ©cembre 2003 Ă la sociĂ©tĂ© Le Grand Bazar, puis le 6 juin 2003, a fait signifier par la mĂȘme SCP une demande de renouvellement du bail annulant et remplaçant le congĂ© signifiĂ© le 3 juin 2003 ; que par lettre du 6 juin 2003, la sociĂ©tĂ© Le Grand Bazar a indiquĂ© accepter le congĂ© et noter que les lieux seraient libres le 31 dĂ©cembre 2003, puis a fait signifier Ă la sociĂ©tĂ© Mac Donald le 26 juin 2003 un acte refusant le renouvellement sans indemnitĂ© dâĂ©viction au vu du congĂ© dĂ©livrĂ© ; que la sociĂ©tĂ© Mac Donald a assignĂ© sa bailleresse et la SCP aux fins de voir dire que lâacte du 3 juin 2003 est privĂ© de tout effet ; Attendu que pour accueillir cette demande, lâarrĂȘt retient quâil rĂ©sulte clairement de lâacte dĂ©livrĂ© par MaĂźtre xxxxxx, huissier de justice Ă Lyon, le 15 mai 2003, qui a tentĂ© de signifier une demande de renouvellement de bail Ă la sociĂ©tĂ© Grand Bazar et dressĂ© procĂšs verbal de perquisition, la sociĂ©tĂ© nâĂ©tant plus domiciliĂ©e Ă Lyon, et de la lettre adressĂ©e par la sociĂ©tĂ© Mac Donald Ă MaĂźtre Louvion, que lâintention de cette sociĂ©tĂ© nâa jamais Ă©tĂ© de donner congĂ© Ă son bailleur mais au contraire de solliciter le renouvellement du bail commercial, quâil est reconnu par la SCP quâelle a commis une erreur grossiĂšre quâelle a cherchĂ© Ă rĂ©parer en notifiant le 6 juin 2003 une demande de renouvellement de bail portant la mention manuscrite "annule et remplace le congĂ© qui vous a Ă©tĂ© signifiĂ© le trois juin deux mille trois par acte de mon ministĂšre", et que le congĂ© du 3 juin 2003, contraire Ă lâintention de la sociĂ©tĂ© Mac Donald et dĂ©livrĂ© par la SCP en dehors de tout mandat pour ce faire, est un acte inexistant qui nâa pas engagĂ© le locataire ; Quâen statuant ainsi, alors que, quelle que soit la gravitĂ© des irrĂ©gularitĂ©s allĂ©guĂ©es, seuls affectent la validitĂ© dâun acte de procĂ©dure, soit les vices de forme faisant grief, soit les irrĂ©gularitĂ©s de fond limitativement Ă©numĂ©rĂ©es Ă lâarticle 117 du code de procĂ©dure civile, la cour dâappel a violĂ© les textes susvisĂ©s ; PAR CES MOTIFS CASSE ET ANNULE, en toutes ses dispositions, lâarrĂȘt rendu le15 janvier 2008, entre les parties, par la Cour dâappel de Lyon ; remet la cause et les parties dans lâĂ©tat oĂč elles trouvaient avant le dit arrĂȘt et les renvoie devant la Cour dâappel de Lyon, autrement composĂ©e " Isaac LOUBATON Avocat au Barreau de Paris
Ledécret n° 2017-891 du 6 mai 2017 reprend l'article 914 du code de procédure civile pour renforcer les pouvoirs du Conseiller de la mise en état "seul compétent depuis sa désignation et jusqu'à la clÎture de l'instruction". Cette disposition modifiée reprend la jurisprudence bien établie qui permet au CME de purger le dossier de tout incident procédural afin que l'affaire
La dĂ©claration dâappel formĂ©e contre une sociĂ©tĂ© intimĂ©e en liquidation judiciaire qui ne mentionne pas le liquidateur ne peut ĂȘtre annulĂ©e que pour vice de forme, puisque le dĂ©faut de mention du liquidateur nâest pas visĂ© par lâarticle 117 du Code de procĂ©dure civile. Cass. com., 10 fĂ©vr. 2015, no 13-24686, ECLIFRCCASS2015CO00136, StĂ© Marina de Talaris c/ StĂ© Mandon, D cassation CA Bordeaux, 19 juill. 2013, Mme Mouillard, prĂ©s. ; SCP Waquet, Farge et Hazan, av. En lâespĂšce, une dĂ©claration dâappel avait Ă©tĂ© formĂ©e par la sociĂ©tĂ© Marina, condamnĂ©e en premiĂšre instance Ă payer une certaine somme Ă une autre sociĂ©tĂ©, sans prĂ©ciser que la sociĂ©tĂ© intimĂ©e Ă©tait reprĂ©sentĂ©e par son liquidateur. Le conseiller de la mise en Ă©tat avait donc prononcĂ© la nullitĂ© de la dĂ©claration[...]
Linterruption de la prescription par la délivrance d'une assignation est dépendante de l'issue de la procédure engagée: l'article 2243 du code civil dispose en effet : "L'interruption est non avenue si le demandeur se désiste de sa demande ou laisse périmer l'instance, ou si sa demande est définitivement rejetée ".
Le dĂ©cret n° 2017-891 du 6 mai 2017 reprend l'article 914 du code de procĂ©dure civile pour renforcer les pouvoirs du Conseiller de la mise en Ă©tat "seul compĂ©tent depuis sa dĂ©signation et jusqu'Ă la clĂŽture de l'instruction".Cette disposition modifiĂ©e reprend la jurisprudence bien Ă©tablie qui permet au CME de purger le dossier de tout incident procĂ©dural afin que l'affaire parvienne devant la formation de jugement en Ă©tat d'ĂȘtre jugĂ©e sur le fond. L'ordonnance rendue aura autoritĂ© de la chose La purge de tout incident procĂ©dural par le conseiller de la mise en Ă©tatA- Un moyen de dĂ©fense1- Les fins de non recevoir ou exception de procĂ©dure ?Les fins de non recevoir touche au droit d'agir en justice et atteint l'action elle-mĂȘme Article 32 Est irrecevable toute prĂ©tention Ă©mise par ou contre une personne dĂ©pourvue du droit d' 122 Constitue une fin de non-recevoir tout moyen qui tend Ă faire dĂ©clarer l'adversaire irrecevable en sa demande, sans examen au fond, pour dĂ©faut de droit d'agir, tel le dĂ©faut de qualitĂ©, le dĂ©faut d'intĂ©rĂȘt, la prescription, le dĂ©lai prĂ©fix, la chose distinguer de la nullitĂ© qui affecte la validitĂ© de la procĂ©dure pour inobservation des formes art 114 ou pour l'une des irrĂ©gularitĂ©s visĂ©es Ă l'article 117 du code de procĂ©dure civile Le dĂ©faut de capacitĂ© d'ester en justiceLe dĂ©faut de pouvoir d'une partie ou d'une personne figurant au procĂšs comme reprĂ©sentant soit d'une personne morale, soit d'une personne atteinte d'une incapacitĂ© d'exerciceLe dĂ©faut de capacitĂ© ou de pouvoir d'une personne assurant la reprĂ©sentation d'une partie en Ă l'exception de procĂ©dure, l'article 73 dispose Constitue une exception de procĂ©dure tout moyen qui tend soit Ă faire dĂ©clarer la procĂ©dure irrĂ©guliĂšre ou Ă©teinte, soit Ă en suspendre le 74 prĂ©cise que Les exceptions doivent, Ă peine d'irrecevabilitĂ©, ĂȘtre soulevĂ©es simultanĂ©ment et avant toute dĂ©fense au fond ou fin de non-recevoir. Il en est ainsi alors mĂȘme que les rĂšgles invoquĂ©es au soutien de l'exception seraient d'ordre que l'article 123 prĂ©voit que Les fins de non-recevoir peuvent ĂȘtre proposĂ©es en tout Ă©tat de cause, sauf la possibilitĂ© pour le juge de condamner Ă des dommages-intĂ©rĂȘts ceux qui se seraient abstenus, dans une intention dilatoire, de les soulever plus tĂŽt Cass 2civ. 2Ăšme du 14 Novembre 2013 n°12-25835."Les juges doivent relever d'office les fins de non-recevoir d'ordre public lorsqu'elles rĂ©sultent de l'absence d'ouverture d'une voie de pas susceptible d'appel le jugement qui statue sur une demande, quel que soit le fondement allĂ©guĂ©, tendant Ă l'allocation d'une somme d'argent dont le montant est infĂ©rieur au taux du dernier dĂšs lors ĂȘtre dĂ©clarĂ© irrecevable l'appel formĂ© contre un jugement prud'homal faisant droit, par application du principe d'Ă©galitĂ© de traitement, Ă une demande de rappel de salaires infĂ©rieure Ă euros" Cass soc 15 janvier 2014 n°12-25404 12-25405 12-25408 12-25409. Par ailleurs, l'exception de procĂ©dure soulevĂ©e dans des conclusions au fond, et nullement dans des conclusions saisissant le conseiller de la mise en Ă©tat qui a seul compĂ©tence pour en statuer est-elle recevable ? illustration juge de la mise en Ă©tatDans un arrĂȘt du 12 mai 2016 n° n° 14-28086, la deuxiĂšme chambre civile de la Cour de cassation confirme une dĂ©cision de la cour d'appel qui avait retenu que l'exception d'incompĂ©tence Ă©tait irrecevable. En l'espĂšce, lors de la procĂ©dure de premiĂšre instance, M. X⊠avait dĂ©posĂ©, avant les conclusions aux fins dâincident saisissant explicitement le juge de la mise en Ă©tat de lâexception dâincompĂ©tence, des conclusions qui formulaient Ă la fois cette exception de procĂ©dure et des demandes au L'irrecevabilitĂ© et la caducitĂ© de l'appel1- CaducitĂ©L'article 914 modifiĂ© du code de procĂ©dure pĂ©nale prĂ©voit que Les parties soumettent au conseiller de la mise en Ă©tat, qui est seul compĂ©tent depuis sa dĂ©signation et jusqu'Ă la clĂŽture de l'instruction, leurs conclusions, spĂ©cialement adressĂ©es Ă ce magistrat, tendant Ă prononcer la caducitĂ© de l' cas Article 908 "A peine de caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel, relevĂ©e d'office, l'appelant dispose d'un dĂ©lai de trois mois Ă compter de la dĂ©claration d'appel pour remettre ses conclusions au greffe".La jurisprudence a prĂ©cisĂ© que "la caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel faute de notification par l'appelant de ses conclusions Ă l'intimĂ© dans le dĂ©lai imparti par l'article 911 du Code de procĂ©dure civile ne peut ĂȘtre encourue, en raison d'une irrĂ©gularitĂ© de forme affectant cette notification" Cass. 2civ du 16 oct. 2014 n° .Article 902 "Le greffier adresse aussitĂŽt Ă chacun des intimĂ©s, par lettre simple, un exemplaire de la dĂ©claration avec l'indication de l'obligation de constituer cas de retour au greffe de la lettre de notification ou lorsque l'intimĂ© n'a pas constituĂ© avocat dans un dĂ©lai d'un mois Ă compter de l'envoi de la lettre de notification, le greffier en avise l'avocat de l'appelant afin que celui-ci procĂšde par voie de signification de la dĂ©claration d' peine de caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel relevĂ©e d'office, la signification doit ĂȘtre effectuĂ©e dans le mois de l'avis adressĂ© par le greffe ; cependant, si, entre-temps, l'intimĂ© a constituĂ© avocat avant la signification de la dĂ©claration d'appel, il est procĂ©dĂ© par voie de notification Ă son peine de nullitĂ©, l'acte de signification indique Ă l'intimĂ© que, faute pour lui de constituer avocat dans un dĂ©lai de quinze jours Ă compter de celle-ci, il s'expose Ă ce qu'un arrĂȘt soit rendu contre lui sur les seuls Ă©lĂ©ments fournis par son adversaire et que, faute de conclure dans le dĂ©lai mentionnĂ© Ă l'article 909, il s'expose Ă ce que ses Ă©critures soient dĂ©clarĂ©es d'office irrecevables".Le conseiller de la mise en Ă©tat a le pouvoir de relever d'office la caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel en cas de non-respect des prescriptions de l'article 902 du Code de procĂ©dure civile Cass 2civ. du 26 juin 2014 n° 906 et 911Les conclusions sont notifiĂ©es et les piĂšces communiquĂ©es simultanĂ©ment de leur remise au greffe par l'avocat de chacune des parties Ă celui de l'autre partie ; en cas de pluralitĂ© de demandeurs ou de dĂ©fendeurs, elles doivent l'ĂȘtre Ă tous les avocats question s'est posĂ©e de savoir si l'incident de caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel Ă©tait une fin de non recevoir ou une exception de procĂ©dure ? voir 914 al 2 du code de procĂ©dure civileLa caducitĂ© est considĂ©rĂ©e comme un incident d'instance mettant fin Ă 385 "L'instance s'Ă©teint Ă titre principal par l'effet de la pĂ©remption, du dĂ©sistement d'instance ou de la caducitĂ© de la ces cas, la constatation de l'extinction de l'instance et du dessaisissement de la juridiction ne met pas obstacle Ă l'introduction d'une nouvelle instance, si l'action n'est pas Ă©teinte par ailleurs Pour l'arrĂȘt du 7 avril 2016 n° 15-14154, il est prĂ©cisĂ© que "Mais attendu qu'ayant constatĂ© que le dĂ©lai d'appel n'Ă©tait pas expirĂ©, la cour d'appel a Ă bon droit dĂ©cidĂ© que le second appel formĂ© par M. X..., peu important qu'il ait Ă©tĂ© interjetĂ© alors que la caducitĂ© de la premiĂšre dĂ©claration d'appel n'avait pas Ă©tĂ© prononcĂ©e, Ă©tait recevable".Toutefois "La premiĂšre dĂ©claration d'appel formĂ©e par l'appelant Ă©tant rĂ©guliĂšre et ayant emportĂ© inscription immĂ©diate de l'affaire au rĂŽle, celui-ci est en consĂ©quence tenu de conclure dans le dĂ©lai de trois mois Ă compter de cette dĂ©claration sous peine de caducitĂ© de cette derniĂšre, la seconde dĂ©claration d'appel, formĂ©e ultĂ©rieurement, identique Ă la premiĂšre comme Ă©tant dirigĂ©e Ă l'encontre du mĂȘme jugement et dĂ©signant le mĂȘme intimĂ©, Ă©tant sans effet" Cass 2civ du 21 janvier 2016 n° 14-18631.2- Les motifs d'irrecevabilitĂ©Article 914 Les parties soumettent au conseiller de la mise en Ă©tat, qui est seul compĂ©tent depuis sa dĂ©signation et jusqu'Ă la clĂŽture de l'instruction, leurs conclusions, spĂ©cialement adressĂ©es Ă ce magistrat, tendant Ă dĂ©clarer l'appel irrecevable et trancher Ă cette occasion toute question ayant trait Ă la recevabilitĂ© de l'appel ; les moyens tendant Ă l'irrecevabilitĂ© de l'appel doivent ĂȘtre invoquĂ©s simultanĂ©ment Ă peine d'irrecevabilitĂ© de ceux qui ne l'auraient pas les conclusions irrecevables en application des articles 909 et 910 dĂ©lai de trois mois nouveau Ă compter de la notification des conclusions de l'appelant pour l' les actes de procĂ©dure irrecevables en application de l'article 930-1 "A peine d'irrecevabilitĂ© relevĂ©e d'office, les actes de procĂ©dure sont remis Ă la juridiction par voie Ă©lectronique"."Mais attendu qu'ayant relevĂ© que l'examen de la seule piĂšce produite par Mme Y..., soit une page imprimĂ©e extraite du RPVA le 23 mai 2012, rĂ©vĂ©lait que la dĂ©claration d'appel Ă l'encontre du jugement du 1er mars 2012 avait Ă©tĂ© dĂ»ment prĂ©parĂ©e par son avocat mais ne comportait aucune trace de son envoi au greffe, lequel ne l'avait en tout Ă©tat de cause pas reçue, c'est Ă bon droit que la cour d'appel, qui a exactement retenu que les diligences de l'article 930-1 du code de procĂ©dure civile devaient ĂȘtre effectuĂ©es dans le dĂ©lai requis, a, rĂ©pondant aux conclusions dont elle Ă©tait saisie, statuĂ© comme elle l'a fait" Cass 2civ. du 13 nov. 2014 n° 13-25035L'irrecevabilitĂ© est une fin de non recevoir qui tend Ă faire obstacle Ă l'action de l'adversaire sans que le juge ait Ă statuer sur les prĂ©tentions. Les autres incidents mettant fin Ă l'action pĂ©remption, dĂ©sistement, acquiescement.... II- L'autoritĂ© de la chose jugĂ©e au principalA- IrrecevabilitĂ© de la caducitĂ© ou de l'irrecevabilitĂ© aprĂšs la clĂŽture de l'instruction1- Devant la cour d'appelLe dĂ©cret introduit un alinĂ©a 2 Ă l'article 914 du code de procĂ©dure civile Les parties ne sont plus recevables Ă invoquer devant la cour d'appel la caducitĂ© ou l'irrecevabilitĂ© aprĂšs la clĂŽture de l'instruction, Ă moins que leur cause ne survienne ou ne soit rĂ©vĂ©lĂ©e postĂ©rieurement. NĂ©anmoins, sans prĂ©judice du dernier alinĂ©a du prĂ©sent article, la cour d'appel peut, d'office, relever la fin de non-recevoir tirĂ©e de l'irrecevabilitĂ© de l'appel ou la caducitĂ© de Conforme Ă la jurisprudenceIl reprend la jurisprudence de l'arrĂȘt prĂ©citĂ© du 12 mai 2016 n° n° 14-28086 confirmĂ© par un arrĂȘt du 11 mai 2017 Cass 2civ 11 mai 2017 n° 15-27467 "Attendu que, pour dĂ©clarer caduque la dĂ©claration d'appel, l'arrĂȘt constate que M. Y... sollicite, dans ses conclusions rĂ©capitulatives prises le 15 septembre 2014, le prononcĂ© de la caducitĂ© de la dĂ©claration d'appel, puis, statuant "sur les demandes in limine litis de M. Y...", retient que Mme X... lui a signifiĂ© le 6 juin 2014 les conclusions qu'elle avait remises au greffe le 4 avril 2014 ;Qu'en statuant ainsi, en accueillant un incident que les parties ne pouvaient pas soulever devant elle, la cause de la caducitĂ© Ă©tant survenue ou rĂ©vĂ©lĂ©e antĂ©rieurement au dessaisissement du conseiller de la mise en Ă©tat, la cour d'appel, qui ne pouvait retenir la caducitĂ© qu'en la relevant d'office, a violĂ© le texte susvisĂ©"B- Insusceptible de recours indĂ©pendamment de l'arrĂȘt au fond1- Pour une stabilitĂ© juridiqueLe dernier alinĂ©a de l'article 914 du code de procĂ©dure civile prĂ©vient que Les ordonnances du conseiller de la mise en Ă©tat statuant sur la fin de non-recevoir tirĂ©e de l'irrecevabilitĂ© de l'appel, sur la caducitĂ© de celui-ci ou sur l'irrecevabilitĂ© des conclusions et des actes de procĂ©dure en application des articles 909, 910, et 930-1 ont autoritĂ© de la chose jugĂ©e au 916 Les ordonnances du conseiller de la mise en Ă©tat ne sont susceptibles d'aucun recours indĂ©pendamment de l'arrĂȘt sur le 1355 du code civilL'autoritĂ© de la chose jugĂ©e n'a lieu qu'Ă l'Ă©gard de ce qui a fait l'objet du jugement. Il faut que la chose demandĂ©e soit la mĂȘme ; que la demande soit fondĂ©e sur la mĂȘme cause ; que la demande soit entre les mĂȘmes parties, et formĂ©e par elles et contre elles en la mĂȘme TempĂ©rance le dĂ©fĂ©rĂ© par requĂȘteArticle 916 al 2 Toutefois, elles peuvent ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©es par requĂȘte Ă la cour dans les quinze jours de leur date lorsqu'elles ont pour effet de mettre fin Ă l'instance, lorsqu'elles constatent son extinction ou lorsqu'elles ont trait Ă des mesures provisoires en matiĂšre de divorce ou de sĂ©paration de peuvent ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©es dans les mĂȘmes conditions lorsqu'elles statuent sur une exception de procĂ©dure, sur un incident mettant fin Ă l'instance, sur la fin de non-recevoir tirĂ©e de l'irrecevabilitĂ© de l'appel ou la caducitĂ© de celui-ci ou sur l'irrecevabilitĂ© des conclusions et des actes de procĂ©dure en application des articles 909, 910, et requĂȘte, remise au greffe de la chambre Ă laquelle l'affaire est distribuĂ©e, contient, outre les mentions prescrites par l'article 58 et Ă peine d'irrecevabilitĂ©, l'indication de la dĂ©cision dĂ©fĂ©rĂ©e ainsi qu'un exposĂ© des moyens en fait et en ordonnances du prĂ©sident de la chambre saisie ou du magistrat dĂ©signĂ© par le premier prĂ©sident, statuant sur la caducitĂ© ou l'irrecevabilitĂ© en application des articles 905-1 et 905-2, peuvent Ă©galement ĂȘtre dĂ©fĂ©rĂ©es Ă la cour dans les conditions des alinĂ©as prĂ©cĂ©dents.
CettedĂ©finition est confirmĂ©e par lâarticle 114 du Code de procĂ©dure civile, qui dĂ©finit indirectement le vice de forme comme lâ « inobservation dâune formalitĂ© ». Les vices de forme sâopposent donc aux vices de fond Ă©numĂ©rĂ©s Ă lâarticle 117 du Code de procĂ©dure civile. Cet article dispose en effet que :
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Article1180-5-1. Section I bis : L'intervention du juge des tutelles en matiÚre d'administration légale (Articles 1180-6 à 1180-19) Sous-section 1 : La demande (Articles 1180-6 à 1180-7)
Constituent des irrégularités de fond affectant la validité de l'acte Le défaut de capacité d'ester en justice ; Le défaut de pouvoir d'une partie ou d'une personne figurant au procÚs comme représentant soit d'une personne morale, soit d'une personne atteinte d'une incapacité d'exercice ; Le défaut de capacité ou de pouvoir d'une personne assurant la représentation d'une partie en justice.
sngOr. eiwihgf8fc.pages.dev/136eiwihgf8fc.pages.dev/311eiwihgf8fc.pages.dev/279eiwihgf8fc.pages.dev/287eiwihgf8fc.pages.dev/63eiwihgf8fc.pages.dev/203eiwihgf8fc.pages.dev/351eiwihgf8fc.pages.dev/154eiwihgf8fc.pages.dev/209
article 117 du code de procédure civile